Retour à Soignies pour une nouvelle journée crypto avec Be-Crypto et Le Cercle du Coin, commençant avec le
André Stilmant, grand ordonnateur de la journée (avec le concours précieux de Gérard Livremont et du Mad Coworking) a fait visiter les lieux, et tout particulièrement le « Musée Crypto », où a eu lieu pour les moins techos une démonstration d’un nœud Umbrel.


Les discussions roulaient plus encore sur le futur possible (profond creux ou long hiver ?) et l’esprit build face aux incertitudes et aux dangers (inflation, délires réglementaires).
Tant et si bien que le « temps libre » annoncé fut fort bref, avant d’écouter nos orateurs, Maître Florian Ernotte et Maître Bruno Dor.
L’Orange Pill’s, a-t-il savamment expliqué n’est pas juste une bière conventionnelle sur laquelle on a apposé une étiquette ‘Bitcoin’ mais le résultat d’un cahier de charges très exigeant, basé sur une interprétation voulue la plus juste possible de la personnalité du bitcoineur.
- tout comme le bitcoineur est familiarisé avec 4 technologies (réseau pair à pair, cryptographie, blockchain et preuve de travail), elle est composée de 4 malts différents dont un mélanoïde.
- Elle atteint un titrage proche de 7 degrés, ce qui est à la fois fort mais sobre et est d’une couleur d’un bel orange doré.
- elle est re-houblonnée en fin de processus, ce qui donne une amertume prononcée. C’est une bière peu sucrée et qui doit se siroter à petite gorgée.
Ainsi, prudence, on n’y investit qu’en fonction de ce que l’on est capable d’ingurgiter ! Son amertume en fait une bière pour les durs, les gens qui ont des convictions fortes, qui se fichent des obstacles et des bear markets. L’ajout du houblon, outre le goût, en fait une bière idéale pour la garde en cave. C’est donc bien une bière pour les ‘hodlers’
Comme tout bitcoineur qui se respecte est soucieux de l’exactitude technique, le jeu de mots orange pill’s lui-même n’est pas juste approximatif car il s’agit bel et bien d’une véritable levure de pils.
Enfin, un ingrédient secret, déposé au fond de la cuve durant la fermentation, a donné un arrière-goût de ‘monnaie’
Et encore, à son sujet on ne vous a pas tout dit ! . Ceux qui savent sont rares.
Comme l’an passé, le Photomaton de Soignies a permis à ceux qui le souhaitaient de repartir, à pieds, en train ou en voiture, avec de beaux souvenirs. Un grand merci à André !












