C’est de nouveau à l’agréable restaurant de la rue de Turin, Le Percolateur, qu’a eu lieu le repas de rentrée.
Après désistements d’un malade, d’un journaliste en retard sur sa copie et d’un rêveur impénitent, il y avait 41 convives venus de Paris, Bordeaux, Lyon, Rouen, Lille, Bruxelles et Neuchâtel.
Autour des « piliers » du Cercle, siégeaient selon le plan de table affiché : deux mathématiciens, trois banquiers dont certains en off, deux gendarmes (l’ancien et le nouveau, comme dans la chanson), des enseignants, un étudiant, des youtubeurs ou podcasteurs, des développeurs et des entrepreneurs, bien sûr !
Jacques Favier a, comme chaque fois, rappelé les 3 règles, dont l’application ne suscite d’ailleurs jamais aucune difficulté !
Aucune morosité dans les discussions, même s’il est clair que la traversée du bear market est longue, que les projets cryptos n’échappent pas à la difficulté de tout projet entrepreneurial et que le contexte français, pays dont les élites semblent admirablement fermées à Bitcoin, n’aide vraiment pas.
On a parlé technique, code, Defi à certaines tables, politique ou histoire à d’autres. Le traitement des cryptomonnaies dans les tribunaux et les commissariat a été longuement abordé à certaine table ayant des membres ou ex-membres de l’armée ainsi que des avocats défendant les déjà nombreux cryptos-inconscients et cryptos-véreux. On a évidemment évoqué les rencontres de Biarritz quelques jours plus tôt et celles à venir aux Açores ou à Annecy. Le « bear market » a beau durer, la réflexion et l’expérimentation ne cessent de vivre et de croître.
On a échangé et dédicacé des livres et, selon l’usage, continué longtemps après le café.